Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

François aux abonnés absents

Quatre cardinaux, Walter Brandmüller, Raymond L. Burke, Carlo Caffarra et Joachim Meisner, ont posé cinq questions au pape sur Amoris Laetitia. Le pape ne leur a pas répondu. Ils rendent l’affaire publique.

Plutôt que de répondre à ses cardinaux sur un sujet crucial, François préfère tenir de nouveaux propos aberrants à son ami Scalfari.

Commentaires

  • Peut-être n'a-t-il pas répondu car il a considéré que les réponses étaient déjà contenues dans le texte de Amoris lætitia.

  • il est temps maintenant que ces cardinaux se réunissent (avec d'autres) pour constater que l'abdication de Benoit XVI a été forcée , et que bergoglio étant hérétique il ne peut pas être considéré comme pape , et donc de rétablir le vrais pape sur le siège de Pierre

  • c'est un scénario qui s'est déjà produit et a abouti au grand schisme d'Occident
    l'abbé de Nantes avait déjà essayé d'utiliser cette méthode contre Paul VI; se référant aux origines de l'institution, il avait fait appel aux curés de Rome
    il est établi depuis l'Antiquité que sont hérétiques ceux qui ne pensent pas comme l'évêque de Rome (tout au moins celui avec lequel l'épiscopat catholique est en communion, puisqu'il y eut des évêques de Rome novatiens et peut-être aussi manichéens, ariens ou donatistes, auxquels on ne fait même pas l'honneur de les appeler antipapes) ce qu'est indubitablement Fançois

  • Bonsoir,

    J'ai répondu sur le site de Riposte Catholique avec le billet suivant que je pourrais intituler ; pourquoi est-ce que je ne suis pas inquiet?

    Mais alors, vraiment pas!

    D’abord, et surtout, nous ne jugeons pas des personnes. Nous jugeons les actes des personnes. Et c’est ce que nous invite à vivre le catéchisme dans notre vie quotidienne. Seul Dieu connaît les secrets de nos coeurs et peut porter un jugement vrai!

    Pourquoi s’inquiéter outre mesure ? Le diable n’attend que ça…

    Le mal est un principe actif d’autodestruction permanent. Et c’est l’enfer. Le diable règne sur des sujets qui s’autodétruisent à longueur de temps et d’années et de siècles.

    Voyez ce qui se passe dans la secte luthérienne de Suède! Il n’y a plus que 3 % de pratiquants réguliers. Et dans 50 ans ? Une secte en moins sur la planète terre…

    Patience…

    Vous savez la différence entre le diable et le Bon Dieu? C’est que le diable est pressé, toujours pressé, car il sait son temps compté, arrêté de toute éternité, alors que le Bon Dieu, Lui, le Roi de nos coeurs et de nos intelligences et de nos âmes, le Bon Dieu, Lui, a tout son temps, l’éternité…

    Patience…

    Et je vous invite à aller à une messe dominicale traditionaliste ou traditionnelle et vous verrez avec émerveillement des églises pleines de personnes de toutes les générations. Et de nombreuses jeunes familles avec leurs enfants. Vous entendrez le silence et le recueillement de la prière. Vous entendrez la ferveur des chants de communion. Et vous verrez peut-être Notre Seigneur Jésus venir avec son corps, son âme et sa divinité sur l’autel de nos coeurs et entre les mains du prêtre. Vous ressentirez peut-être, au moment de la consécration, le poids de la Croix peser sur vos épaules.

    Je prie Notre Seigneur Jésus qu’Il vous accorde ces grâces.

    Et vous savez ce qu’est le contraire de l’autodestruction ? C’est la transmission paisible et joyeuse de la foi catholique à ses enfants et à ses petits-enfants. C’est une vie de foi catholique vivante et heureuse et paisible dans nos familles catholiques. C’est aussi simple la vie dans l’Esprit Saint. Et ces familles traditionnelles ou traditionalistes transmettent tellement bien la foi catholique à leurs enfants que ceux-ci iront pour les uns remplir les séminaires et/ou les communautés religieuses qui ont aidés leurs parents à leur transmettre la foi catholique, et pour les autres remplir leur petite famille de nombreux enfants à qui ils transmettront à leur tour et avec amour et vérité la foi catholique reçue des Apôtres.

    Et c'est pourquoi aujourd'hui les séminaires traditionels et traditionalistes, les communautés religieuses traditionalistes et traditionnelles se remplissent jour après jour de personnes dynamiques et missionnaires.

    Alléluia.

    Nous vous bénissons Seigneur Jésus pour ces familles heureuses et unies qui transmettent la foi catholique à leurs enfants et à leurs petits enfants!

    Nous vous bénissons Seigneur Jésus pour ces jeunes couples qui ont le courage et la confiance de mettre au monde de nombreux enfants et de les éduquer dans l’amour et la vérité de Votre Parole transmise par Votre sainte Mère Eglise!

    Nous vous bénissons, Sainte Marie et Saint Joseph, pour l’exemple lumineux de Votre Sainte Famille de Nazareth et de toujours!

    Deo Gratias

  • Bonjour,

    Je cite :

    « On l’a dit bien des fois, et ma réponse a toujours été que l’on pourrait dire que ce sont des communistes qui pensent comme les chrétiens. Le Christ a parlé d’une société où les pauvres, les faibles et les marginalisés ont le droit de décider. Non pas les démagogues, ni Barabbas, mais le peuple, les pauvres, qu’ils aient foi ou non en un Dieu transcendant. Ce sont eux qui doivent aider à atteindre l’égalité et la liberté. »

    Il s'agit là d'une vision bien singulière, et singulièrement fausse, du christianisme et du communisme. Quand on pense

    - à ce que les communistes reprochent, à juste titre, du point de vue marxiste-léniniste, aux chrétiens, à savoir la priorisation légitime de la Foi, de l'Espérance, de la Charité,

    - à ce que les chrétiens reprochent, à juste titre, du point de vue chrétien, aux communistes, à savoir la priorisation d'une vision et d'une action matérialistes, destructrices puis reconstructrices, sur la culture et la société, sur l'économie et la philosophie, sur l'homme et le monde, sur la politique et la religion,

    il y a là de quoi bondir, pour tous ceux dont l'esprit n'a été ni anesthésié, ni euthanasié, ni hypnotisé, ni lobotomisé, ni mithridatisé.

    Le Pape François me fait de plus en plus penser à ces clercs qui parlent presque toujours des inégalités matérielles et sociales, et presque jamais des falsifications spirituelles et morales, alors que ce sont des falsifications spirituelles et morales, des mensonges systémiques, qui sont à l'origine de bien des inégalités matérielles et sociales, mais aussi de bien des phénomènes d'exclusion et d'oppression.

    Or, toute religion séculière, ou toute volonté de puissance, fonctionne avant tout à la falsification spirituelle et morale, comme dans le cas du marxisme-léninisme et du communisme, notamment soviétique, et non avant tout à la destruction puis à la reconstruction matérielle et sociale.

    D'une manière générale, le communisme est avant tout mensonger, éliminateur ou falsificateur de presque tout ce qui permet de connaitre ses véritables intentions ou objectifs, ses véritables méthodes ou procédés, ses véritables résultats, y compris dans des domaines qui relèvent de la vie quotidienne.

    Je veux dire par là que ceux qui s'imaginent que c'est avant tout ou seulement parce que le communisme a comporté des abus, des excès, ou des échecs (notamment sur le plan économique et social), que l'on peut dire, seulement après-coup, qu'il est nocif, commettent une grave erreur.

    En réalité, c'est avant tout parce que le communisme est mensonger, est mensonger dans son principe-même, que l'on peut et que l'on doit dire qu'il est intrinsèquement pervers.

    " L’entretien s’est déroulé quelques jours après que le pape eut pris la parole devant les Mouvements populaires (indigénistes). Scalfari l’a interrogé pour savoir s’il voulait que les pauvres entrent directement en politique.

    « Oui, c’est exact. Pas la politique politicienne – se battre à propos du pouvoir, l’égoïsme, la démagogie, l’argent – mais une politique plus haute, créative, la politique d’une grande vision. Celle dont parlait Aristote », répond le pape.

    Il y a ici une véritable idéalisation d’une certaine catégorie humaine. Comme si les pauvres allaient nécessairement faire une politique vertueuse. Comme s’ils étaient exempts du péché originel, de l’envie et tous les autres défauts."

    Il y aussi une contradiction ou, en tout cas, un risque de contradiction, entre la référence de François à Aristote, et la référence du Pape au communisme. Mais en a-t-il conscience ?

    Bonne journée.

    A Z

  • @AZ
    Merci pour ces lumineux commentaires sur le communisme. Qui s'applique aussi au capitalisme matérialiste d'origine talmudique et calviniste. Tous les deux envers et endroit de la même médaille anti-christique.
    Bergoglio est-il le précurseur de l'AntéchrisT?

  • "Le jour même de l’élection américaine – et comment ne pas y voir un signe ? – le pape François a reçu en audience privée, mais parfaitement officielle, l’ancien leader et toujours figure de proue du parti radical italien, militante infatigable de la culture de mort sous toutes ses formes, Emma Bonino."

    http://www.delitdimages.org/emma-bonino-grande-avorteuse-recue-vatican/

  • http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2016/11/10/emma-bonino-encore-au-vatican-5872558.html

  • Désolé, je ne l'avais pas vu...
    De plus en plus inquiétant comme pape...

Les commentaires sont fermés.