Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Idéologie euthanasique

Le Centre universitaire de santé McGill, au Québec, a été tancé par le ministre de la Santé (sic) car il s’est « doté d’une politique interne qui permet d’exempter son unité de soins palliatifs de l’application de la loi sur l’aide à mourir ». Un patient ayant fait une demande d’euthanasie a ainsi été transféré dans une autre unité. Le transfert d’une unité à l’autre n’est pas « illégal », mais « amoral » (sic) estiment les médecins pratiquant l’ « aide à mourir ». L’attention du gouvernement a été attirée sur ce centre car le nombre d’euthanasie déclaré était « étonnamment » plus bas que la moyenne. Ce qui est scandaleux. Le ministre de la Santé a donc conclu qu’il s’agissait d’une « obstruction à l’aide à mourir », et il a édicté une directive visant à ce que tout personnel soignant puisse contresigner un formulaire de demande d’aide à mourir, et non plus seulement les médecins…

Le Centre hospitalier de l’université MaGill a continué à être la cible d’attaques des euthanasieurs, ainsi que l’Université de Montréal.

La chercheuse Odile Marcotte souligne que « les médecins qui prodiguent des soins palliatifs dans ces institutions sont fidèles à la définition des soins palliatifs donnée par l’Organisation Mondiale de la Santé, c'est-à-dire soulager les patients en fin de vie sans hâter ni retarder la mort ». En outre, les maisons de soins palliatifs « ont obtenu le droit de se soustraire à l’obligation d’offrir l’euthanasie ».

Ainsi, pour Odile Marcotte, « les attaques des intimidateurs ne visent pas à faire respecter les droits des patients, mais à modifier la nature des soins palliatifs en utilisant des méthodes qu’ils n’utiliseraient pas contre d’autres groupes de médecins spécialistes ». Ils veulent « détruire toute opposition à leur idéologie », car « si ce n’était pas le cas, ils retrousseraient leurs manches et créeraient des cliniques offrant le ‘traitement médical’ auquel ils attachent tant d’importance ».

Commentaires

  • Nous avons affaire à une bande de cinglés, satanisés jusqu'à la moelle. Et le Canada rattrape son retard dans l'horreur génocidaire.
    Avant ils disaient "c'est légal , donc c'est moral", maintenant ils disent ce n'est pas "illégal mais c'est immoral". Jusqu'à quand la patience des gens normaux supportera de telles infamies? Viendra un temps où tous ces cinglés membres de gouvernements pro-culture de mort seront jugés et fusillés. En ont-ils conscience Et s'ils échappent à la justice humaine, ils n'échapperont pas à la justice de Dieu. En ont-ils conscience? Ou Satan les aveugle à ce point?

  • Une civilisation qui assassine ses enfants à naître dans le sein même de leurs mères, par millions ;
    qui dans le même temps exécute ses aînés devenus, impropres à la production et gênant :

    QUEL PEUT-ËTRE SON DEVENIR, SON AVENIR ?

    Et comment messieurs, dames pouvez-vous, vous rendre complice de l'inadmissible perversion de vos républiques, encore et toujours par vos votes, qui avalisent tout cela ?
    Ces crimes sont collectifs et validés de fait par TOUS, dès lors que vous vous soumettez à cette dictature idéologique car TOUS vous savez et TOUS vous n'échapperai donc à la justice de Dieu !!!!

  • petit détail : le Canada n'est pas une république, mais un des nombreux royaumes sur lesquels règne Elizabeth II

  • @théofrède: Nous écrivions plus pour les républiques en général, et surtout pour la notre .......
    Pour être plus précis, pour le Canada, il s'agit exactement une monarchie constitutionnelle fédérale à régime parlementaire ....... une sorte de monarchie constitutionnelle ....

  • c'est bien ce que je disais : ce n'est pas une république

  • suite : en réalité, au plan politique c'est une une fédération, les pouvoirs y sont répartis entre un gouvernement central (fédéral) et 10 provinces (Colombie-Britannique, Alberta, Saskatchewan, Manitoba, Ontario, Québec, Nouveau-Brunswick, Nouvelle-Écosse, Île-du-Prince-Édouard et Terre-Neuve-et-Labrador).

    Les pouvoirs du fédéral et des provinces sont inscrits dans la Constitution. Les compétences des trois territoires (Yukon, Territoires du Nord-Ouest et Nunavut) leur sont dévolues par le fédéral et ne sont pas inscrite.

    Le chef de l'état est la Reine Elisabeth, mais qui n'a pas grand pouvoir, surtout depuis 1982, le Canada a rapatrié sa Constitution, c’est-à-dire qu’il s’est donné des mécanismes pour la modifier lui-même, à la suite d’une entente entre le fédéral et neuf provinces. Le Québec a refusé son consentement à cette entente, notamment parce qu’il n’a pas obtenu de statut constitutionnel particulier. En outre, depuis 1982, la Charte canadienne des droits et libertés est inscrite dans la Constitution. Malgré ces modifications, le Canada demeure une monarchie constitutionnelle et la reine du Royaume-Uni, Élisabeth II, est toujours la reine du Canada.
    Le système gouvernemental canadien est inspiré du parlementarisme britannique et relève avant tout de la tradition, et de "l'avenir", avec l'euthanasie idéologique ambiante.
    Et qu'elle position prend la Reine sur ce sujet ?.......... Pas grand chose.........

Les commentaires sont fermés.