Interrogé, lors de sa grande conférence de presse annuelle, sur Donald Trump, Vladimir Poutine a déclaré :
« Il dit qu’il veut parvenir à un autre niveau de relations, plus profond (avec la Russie). Que pourrions-nous faire d’autre que saluer cela ? Assurément nous le saluons. Ce n’est pas notre boulot d’évaluer ses talents mais il est toujours le favori absolu dans la course présidentielle. C’est une personnalité de premier plan, brillante et douée, sans aucun doute. En ce qui concerne les affaires intérieures, sa façon d’étayer sa popularité, ce n’est pas à nous de juger la façon dont il le fait. »
Commentaires
Il est clair que si l'Europe se retrouvait coincée entre Poutine et Trump, ses dirigeants eurocrates dégénérés et ramollis paraîtraient encore plus nuls et décadents... Ce qui en soit serait une bonne chose car cela ouvrirait peut-être quelques yeux en Europe... Face à des chefs forts et virils, défendant l'identité et la force de leur nation, totalement imperméables au politiquement correct, nos pauvres Hollande, Merkel et les gnomes de Bruxelles feraient encore plus pâle figure... D'autres candidats du parti républicain tiennent d'ailleurs sur l'islam ou l'avortement que personne en France ne tiendrait...
De plus, les rivalité au sein des nations du Septentrion sont mauvaises ; tout doit être fait pour éviter une nouvelle guerre froide. Si Poutine et Trump s'entendaient, les manœuvres des Européens russophobes pour dresser l'Amérique contre la Russie seraient déjouées... Seul l'islam a intérêt à une division des pays d'héritage chrétien et ce n'est qu'à cause des divisions entre pays chrétiens qu'il a pu progressé. La Russie comme l'Europe et l'Amérique sont en état d'islamisation même si c'est à des degrés divers...
" tout doit être fait pour éviter une nouvelle guerre froide"
Justement les mondialistes jouent la menace d'une guerre CHAUDE (très chaude) pour faire accepter à la population mondiale la Pax Antechristica et le gouvernement mondial qui résoudra tout comme par miracle! ("miracle" du Démon, bien entendu!)
si on comprenait que c'est aux Syriens de choisir leurs dirigeants !