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Il n’y a pas de réfugiés climatiques

La justice néo-zélandaise vient de jeter un gros pavé dans la mare de la propagande climatique. La Cour suprême a en effet confirmé les jugements de première instance et d’appel qui rejetaient la demande d’asile climatique formulée par une famille originaire de Kiribati.

Kiribati, l’archipel symbole de la propagande climatique, puisqu’il est au ras de l’eau qui monte et qui engloutit tout…

Mais la Cour suprême a tranché :

1. Il n’existe pas d’asile climatique. Pour pouvoir demander le statut de réfugié, il faut prouver qu’on est persécuté dans son pays d’origine. C’est la définition de l’ONU.

2. « Aucun élément matériel n'indique que le gouvernement des Kiribati manque à son devoir de protéger sa population des effets de la dégradation environnementale, dans la limite de ses moyens. »

Et pourtant… un rapport publié il y a un an indiquait que 22 millions de personnes dans le monde avaient dû fuir leurs foyers pour des raisons climatiques en 2013…

22 millions de réfugiés susceptibles de demander l’asile… Mais c’est une imposture. Ce nombre est le total de toutes les victimes des catastrophes naturelles. Lesquelles sont toutes dues au « réchauffement climatique anthropique ». Tel est le dogme de la nouvelle religion. Croyez, puisque c’est absurde.

Commentaires

  • Ouf, un peu de bon sens...Aux avant-postes de ce retour à l'exactitude des mots, on devrait trouver le HCR, organisme onusien payé avec nos contributions, en charge de l'application de la convention de Genève sur les réfugiés, laquelle convention ne mentionne pas (bien sûr) le vilain climat de dame Nature parmi les causes d'un accueil des réfugiés. Mais le HCR se tait...

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