Dans une lettre ouverte à David Cameron, le directeur général de la Chambre de commerce britannique, John Longworth, écrit :
Nous avons besoin de clauses d’exemption en béton pour nous assurer de ne pas entrer comme des somnambules dans une « union toujours plus étroite ». Dans une Europe dans laquelle les décisions sont prises par et pour la zone euro – un club dont nous ne serons jamais membre – la Grande-Bretagne doit avoir des garanties absolues pour protéger notre économie et nos autres intérêts à l’intérieur de l’UE.
Les autres priorités, ajoute-t-il, doivent être de parvenir à un marché « significativement » libre des services, une plus grand protection contre les règlements de l’UE, et une approche « claire et équilibrée » de l’immigration. Et il avertit que les entreprises « seront profondément préoccupées si les questions qui sont centrales pour la prospérité du pays sont négligées ou compromises à la table de négociations ».