Je suppose que c’est la stupéfaction qui rend tout le monde aussi curieusement aphone…
Jeanne Smits a été virée de la direction administrative et rédactionnelle de Présent.
Et personne ne dit rien.
Comme il y a une justice immanente, il est clair que Présent ne survivra pas à cette infamie. Celle de trop.
Je suppose qu’on retrouvera très rapidement Jeanne Smits (et Olivier Figueras) sous d’autres titres.
Il y en a qui ne choisissent pas leur carême…
Commentaires
Pourquoi et par qui ?
Par qui ?
Par "les associés", représentés par "Raphaël Dubrule", qui ont nommé gérants Zita de Lussy et Jean-Pierre Blanchard, et à la tête de la rédaction Francis Bergeron.
Pourquoi ?
Parce qu'ils croient qu'ils feront mieux...
(Et il y a évidemment des luttes d'influences là-dessous, mais je n'en sais pas assez pour en parler. On peut seulement constater que Francis Bergeron ce n'est pas la même ligne que Jeanne Smits...)
Quoi ? Je pensais que c'était la directrice. Et qui aurait pu nous l'apprendre ? Elle écrivait encore dans Présent du 4 mars !
C'est en une de Présent du 5 mars.
Comment lui faire parvenir notre sympathie ?
Sur le site de Présent il y a encore son adresse courriel:
jeanne.smits@present.fr
Merci Monsieur Daoudal. J'aurai seulement le journal du 5 mars demain matin dans ma boite à lettres ! Ce doit être le cas pour beaucoup d'abonnés.
J'ai envoyé un courriel à Jeanne.
J'espère qu'elle restera vice-présidente de l'Agrif. Dans le cas contraire, nous devrons en tirer des enseignements.
Oui, j'aurais dû le préciser.
Elle vient précisément d'être reconduite vice-présidente de l'AGRIF, hier soir:
http://www.bernard-antony.com/2014/03/compte-rendu-des-reunions-statutaires.html
Nous ne connaissons pas le dossier et le déficit de Présent malgré le quart de million de subventions en 2012 et probablement aussi en 2013.
Une décision aussi brutale ne peut intervenir qu'en cas de naufrage imminent du quotidien.
Jeanne a l'immense mérite de lutter contre la mort,pour la vie en bonne et digne catholique et cela depuis toujours,son blog en témoigne;pour cela,une grande récompensa attend la croyante.
Mais Présent n'est pas toujours exempt de reproches,notamment ce soutien constant apporté à des politiciens qui ne sont pas chrétiens et dernièrement encore,un article tout à fait à côté de la plaque sur l'Ukraine.
J ' ai vu ça hier soir - version internet - et je me
demandais qui est donc M. Dubrule ? Et que veux dire
" Présent Militants " ?
Franchement je n ' y ai pas vu de cabale , seulement une
décision dictée par une situation tendue et en plein accord
avec Mme. Smits . Virée ???
Présent serait donc un repaire d ' opportunistes carriéristes ?
Je n ' ose y croire : )
Je viens de lire l ' édito de Lussy et Blanchard :
c ' est assez lucide , surtout concernant l' outil internet , et
mesuré.
Mais pas d ' explication quand à l ' éviction (?) de Mme Smits
Je suis triste pour Jeanne Smits de cette grossière injustice. Elle était l'âme de Présent, en partant elle l'emporte. Elle savait écrire, dire avec force sa pensée, sa foi, affirmer ses convictions. Oui, Présent, c'était elle!
Vous avez raison;c'est une chrétienne qui ne mélange pas sa foi avec le nazisme et les brumes nordiques.
J'avais découvert Présent par des liens internet via Jeanne Smits et j'avais fait l'effort de m'abonner et d'abonner des amis à Présent parce qu'il y avait Jeanne Smits dont je mets vraiment en avant son combat pour la vie et son équilibre dans ses appréciations de journaliste pour des sujets très délicats - je voulais la soutenir plus que le journal en lui-même. J'apprends par vous cette affaire.
Je n'ai évidemment pas les éléments pour juger car les situations ne sont jamais aussi simples qu'elles peuvent paraître et dans des situations très difficiles que ce sont des journaux aujourd'hui personne ne peut faire de miracle même les meilleurs journalistes. J'espère pouvoir continuer à soutenir Jeanne Smits et ses combats là où elle se trouvera et écrira.
Bonne chance malgré tout à Présent.
incroyable ! en pleine bataille se priver d'une telle combattante ! incompréhensible
Nous sommes chagrinées au plus profond de nous mêmes par le limogeage de Jeanne Smith .pour nous. Présent c est terminé
J'ai vu le mot "infamies" au sujet de Présent sur ce blog. Simple abonné mais depuis le début, je n'ai rien vu ni su, mais maintenant je voudrais bien me renseigner sur les infamies en question.
De toute façon je viens de me réabonner, mais pour l'année prochaine ce n'est pas certain et j'aimerais savoir comment avoir des précisions.
Et si les uns ou les autres téléphonaient directement chez Présent ?
Vous verrez bien ce qu'on vous répondra !
A croire le communiqué, c'est Jeanne Smits qui coûtait trop cher au journal !
Je souhaite lui rendre hommage pour sa lutte, avec Jérôme Triomphe, pour préserver la vie de Vincent Landon. Présent lui offrait une excellente tribune.
Une seule bonne nouvelle: Jeanne reste à l'AGRIF.
Vous vouliez écrire "Vincent Lambert"?
J'ai beau relire le communiqué, je ne vois nulle part écrit que "c'est Jeanne Smits qui coûtait trop cher au journal !"
Il est simplement dit qu'une nouvelle équipe de GESTION va essayer de sauver Présent qui est en grand danger.
Pour mémoire, Zita de Lussy a été longtemps gérante de Présent du temps de Jean Madiran. Elle revient aider. C'est plutôt bon signe, non ?
à propos de J.S. et d'internède, écouter le début de : http://sdebeketch.com/libre-journal-2004-03-24/
comme quoi..... la mémoire est faible...
@ amédée: "Ne jugez pas et vous ne serez pas jugé".
Vus avez raison,je ne juge pas par exemple Adolf Hitler,Dieu a le dernier mot mais tout cela était si beau,n'est-ce pas Gaëlle Mann avec ces milliers de torches dans la nuit de Nüremberg,quel aspect esthétique luciférien!
Quand la croix ennemie de celle du Christ flamboyait sur l'Allemagne!
Deux croix inconciliables,Gaëlle Mann.
Elle continuera peut-être à y écrire
Que disent les communiqués ? Que Mme Smits a été remplacée au poste de gérante pour tout ce qui est administratif. L'administratif ce n'est pas le rédactionnel. C'est tout ce qui justement n'est pas rédactionnel.
Le comité de rédaction est composé de plusieurs personnes, qui sont les autres ?
Et les autres grands anciens de Present ? Pourquoi ne font ils plus partie de la rédaction ? Sont ils partis de leur plein gré ou bien ont ils été chassés et dans ce cas par qui ?
Et si on essayait de sauver Present quand même ? Car si Present disparaît, malgré internet, il ne restera plus aucun QUOTIDIEN de notre famille de pensée.
Et nombre de blogs, sites, forums, n'auront plus les articles de Present à citer.
Jeanne Smits était aussi "directeur de la rédaction". Elle ne l'est plus. Il y a désormais un "comité de pilotage de la rédaction sous la responsabilité de Francis Bergeron".
PRESENT passe à GAUCHE TOUTEEEEEEEEEE !!!!
PRÉSENT à gauche ? N'importe quoi...
Puisqu'il y a un comité de pilotage de Présent, qui en sont les autres membres ? BHL ? Giesbert ? Drucker ?
Rien ne change et certains n'ont toujours rien appris. Avant de taper sur vos plus proches voisins, allez donc vous attaquer aux vrais ennemis, ceux d'en face.
Avant de prendre parti pour l'un ou l'autre dès qu'il y a une scission, essayez de vous unir pour vaincre le véritable adversaire.
Et quand quelqu'un essaie de faire quelque chose, laissez lui une chance, au lieu de critiquer avant même le début de quoi que ce soit.
Ma réaction, certes, paraîtra bien tardive. Mais je n'avais pas voulu prendre au pied de la lettre le message, si sec qu’il en était offensant, par lequel le remplacement de Mme Jeanne Smits à la direction du journal était annoncé et j’ai cru qu’il ne s’agissait que d’une maladresse de rédaction.
Je n’ai pas voulu croire Yves Daoudal qui affirmait qu’elle avait été « virée ».
J'ai donc attendu d'en savoir plus.
Toutefois, l’absence, me semble-t-il, depuis la date de ce communiqué, des signatures de Jeanne Smits et d’Olivier Figueras, confirme apparemment la thèse d’Yves Daoudal.
Alors, en très vieille lectrice au numéro et plus récente abonnée, je me permets de protester contre un tel procédé.
Le langage employé dans ce communiqué brutal, sans même un mot de reconnaissance pour Jeanne Smits ne faisait apparemment que refléter l’incorrection du procédé employé.
Je suis surprise que bon nombre de rédacteurs de Présent, pour lesquels j’ai beaucoup d’estime, aient accepté cette situation sans un mot, sinon de protestation, du moins d’amitié pour Jeanne Smits et Olivier Figueras et qu'ils aient continué leur collaboration au journal sans rien dire. Tout se passe comme si ni l'une, ni l'autre, n'avaient jamais existé !
Le courage de Jeanne Smits dans son combat pour la vie méritait mieux.
Jeanne Smits fait toujours partie de la rédaction, elle N'A PAS été virée, congédiée, licenciée, ou mise dehors.
Une nouvelle équipe de GESTION a été mise en place.
Les autres journalistes sont toujours là, Alain Sanders, Jean Cochet, Caroline Parmentier, Samuel Martin, Pierre Malpouge, Franck Delettraz, Catherine Robinson, j'en oublie, et des nouveaux sont arrivés. Sont-ils tous otages ? Captifs ? Prisonniers ?
Curieusement, plusieurs ont écrit un article pour appeler au soutien de Présent.
Curieusement, le blog de Jeanne Smits reste inactif depuis mars. Et pourtant, elle y est chez elle, personne ne l'empêche d'écrire. Alors si elle n'écrit pas dans Présent, c'est probablement pour une raison autre qu'un blocus de la part de la nouvelle équipe de GESTION.
D'ailleurs je viens d'entendre Bernard Antony, sur Radio Courtoisie, annoncer le prochain retour de Jeanne Smits à son émission, disant qu'elle a eu des ennuis de santé.
Et c'est sans doute aussi pour cela qu'on n'a pas lu dans Présent de long hommage de remerciement. C'est qu'ils attendent son retour.