Les services sociaux avaient été avertis de manière répétée et par l'enfant, et par sa mère, des abus dont il était victime, mais ils ne faisaient rien pour ne pas « stigmatiser » des homosexuels. L’enfant a été plusieurs fois obligé de retourner chez son père adoptif jusqu'au moment où il a fini par tomber sur un travailleur social qui a accepté de vérifier ses accusations, au bout de 7 ans de souffrances. C’est en Angleterre, mais ce pourrait bien être chez nous, et sans qu’on le sache…