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François Hollande dans le texte (in english)

Au moment de l’affaire ArcelorMittal, François Hollande reçoit à l’Elysée le patron du groupe, Lakshmi Mittal. A la fin de l’entretien, Hollande lui dit, en anglais pour faire bien : « Best regard to your father » (mes meilleures salutations à votre père).

Et Lakshmi Mittal : « C’est moi, le père ! »

Pendant tout l’entretien le président de la République avait cru parler au fils Mittal. En parlant au père, qui a 62 ans…

Commentaires

  • Petit chef de petit État qui parle anglais à un grand patron.

  • il porte ça sur son visage, c'est surtout incroyable qu'il soit élu. d'où le niveau de dégénrescence du Peuple français, enfin après Sarkec'est unemarchedeplus on verralaprochaine. Duflot????

  • comme quoi à l'ENA on fabrique bien des anes. il est quand même gravissime de savoir qu'un Chef d'Etat ne sache pas qui est son interlocuteur.
    l'autre a du rigoler dans sa voiture.

  • Quel goujat ! l'idiot du village....

  • Il ne peut tout savoir. Mais cela prouve que l'Elysée, en tant que machine à faire tourner rond la présidence, ne fonctionne pas ; sans doute parce que beaucoup de collaborateurs du président ont été choisis hors de tout critère de compétence, parmi de simples science-po/ENA socailistes, formation en fait extrêmement médiocre hors de spécialités franco-françaises comme la comptabilité publique ou le droit administratif. Qu'il n'y ait autour d'un président de la république française personne pour s'assurer qu'il en sait un minimum sur ses interlocuteurs avant qu'il ne les reçoive paraît effarant d'incompétence.

  • Ce genre de "gaffe" ne serait pas si grave si l'exécutif avait su prendre une décision courageuse concernant la production délocalisée et les importations.
    Avec une "TVA sociale" (ne serait-ce que cela) telle que préconisée à la fin (hélas) du gouvernement précédant, les entreprises françaises auraient produit pour moins cher tandis que les produits d'importation auraient contribué au financement public...alors, plus besoin de jouer le jeu du chantage de Mittal puisque, en délocalisant, il aurait été quand même obligé de payer des taxes en France!

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