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La liberté religieuse au service de la vocation missionnaire

Extrait d’un entretien avec le cardinal Georges Cottier :

- Est-ce que le thème de la liberté religieuse a préparé l’Eglise pour les temps actuels ?

- Bien sûr. S'il n'y avait pas cet instrument, je me demande s'il serait possible d'avoir une représentation de l'Eglise et des grandes organisations internationales, comme l'ONU ou les organismes spécialisés dans les droits de l’homme. Et face à tous les Etats du monde, c’est un puissant document, parce qu’il est lié aussi aux droits de l’homme, et l’Eglise peut le vivre dans le respect des minorités.
L’histoire est histoire et elle poursuit sa marche. L’Eglise a toujours lu dans l’histoire ce que le Concile appelle “les signes des temps”. On ne parle plus d’un côté du monde chrétien et de l’autre de tout ce qui lui est extérieur : ici, on parle d’un changement énorme qui, si nous le voulons, nous reporte aux premiers siècles de l’Eglise, en lui permettant d’exercer la vocation qui lui est propre, c’est-à-dire la vocation missionnaire. La nouvelle évangélisation veut dire aussi ceci.

Commentaires

  • la première phrase semble légèrement inachevée, ou du moins suppose une allusion. mais si je comprends bien la suite, pour que l'Eglise retrouve son zèle missionnaire il faut abolir la chrétienté ...

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