52,3 % des votants ont rejeté l’ « initiative populaire » qui visait à dépénaliser l’avortement. L’initiative était malignement intitulée « Aider plutôt que punir ». Mais les Liechtensteinois n’ont pas succombé à cette sirène : ils savent que « aider », ici, veut dire tuer, et que « punir » ne veut rien dire puisqu’il n’y a pas eu de condamnations depuis des années.
Les Liechtensteinois ont ainsi résisté aux pressions internationales, notamment de l’ONU.
Le prince régent, le gouvernement, et le parlement, s’étaient déjà prononcés contre le texte.