C’est en tout cas ce qu’il dit dans un communiqué : il a découvert « avec stupéfaction les déclarations de M. Lamachi » sur le minaret de la mosquée de la ville. Le projet « n’a jamais évoqué une mosquée avec un minaret de quinze mètres et appel à la prière ».
Il précise :
« A aucun endroit dans l’arrêté du permis de construire, le mot “minaret” n’est mentionné. Il y aura une surélévation qui vise à donner une unité architecturale qui corresponde à ce que voulait l’association. Mais je ne veux pas qu’on emploie le mot “minaret” ».
Sic.
Mais le dossier de l’architecte dit : « Le projet consistera à fermer l’auvent existant et à construire un minaret sur la façade principale ».
Contacté par le quotidien La Montagne, qui avait reproduit les propos de M. Lamachi, le maire déclare :
« Si on n’en avait pas parlé, personne n’aurait rien vu »…