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La dictature de l’extrême gauche à l’université

Alors que devait avoir lieu aujourd’hui à Metz une nouvelle manifestation contre l’ancien président colombien Alvaro Uribe, professeur invité à l’Ecole nationale d’ingénieurs de Metz (Enim), la direction de l’Ecole a publié hier un communiqué indiquant que le contrat avait été arrêté en avril, et précisant que Uribe n’a pas souhaité continuer à intervenir « dans un cadre manipulé par une faction d’extrême gauche ayant porté — sans preuve — le discrédit sur son mandat ». Une campagne contre Uribe à Metz avait été menée jusqu’au Parlement européen.

Alvaro Uribe avait de même dû renoncer à donner des cours à l’université Georgetown de Washington en raison de la cabale montée par les jésuites et autres intellectuels.

Ce qu’on reproche à Uribe, c’est d’avoir efficacement combattu les terroristes des FARC, et d’avoir eu, en partie pour cela, une cote de popularité véritablement historique (81 %) dans son pays.

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