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D’un fils l’autre

En Egypte, le fils Moubarak, Gamal, était assuré de prendre la succession de son père à l’automne. On ne l’a pas entendu pendant les événements. Il a purement et simplement disparu…

En Libye, au contraire, le fils Khadafi, Seif al-Islam (le sabre de l’islam) donne de la voix :

«La Libye est à un carrefour. Soit nous nous entendons aujourd'hui sur des réformes, soit nous ne pleurerons pas 84 morts, mais des milliers, et il y aura des rivières de sang dans toute la Libye… Je m'adresse à vous et pour la dernière fois avant de recourir aux armes… Notre moral est au plus haut et le leader Mouammar Kadhafi, ici à Tripoli, conduit la bataille et nous le soutenons ainsi que nos forces armées (...) Nous ne lâcherons pas la Libye et nous combattrons jusqu'au dernier homme, jusqu'à la dernière femme et jusqu'à la dernière balle.»

Les manifestations ont atteint un degré insurrectionnel. Il y a déjà eu plus de 200 morts. La ville de Benghazi serait aux mains des insurgés. Des rumeurs disent que Khadafi aurait quitté le pays.

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