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L’UE et les chrétiens d’Orient

Dans un projet de déclaration sur "l'intolérance, la discrimination et la violence fondée sur la religion ou la croyance", négocié par les ambassadeurs des 27 gouvernements européens à Bruxelles, l'UE va se contenter de "condamner fermement" lundi la "violence récente et les actes de terrorisme visant des lieux de culte et de pèlerinage", soulignant "qu'aucun endroit au monde n'est exempt du fléau de l'intolérance religieuse". Le texte souligne que le devoir premier des Etats est "la protection de leurs citoyens, y compris les personnes appartenant à des minorités religieuses", sans citer quelque pays ni quelque religion que ce soit.

Le texte peut encore être modifié avant d'être entériné lundi par les ministres des Affaires étrangères. Mais l’expérience montre que ces projets de textes sont généralement adoptés tels quels. A moins que Franco Frattini, qui ne peut pas se reconnaître dans une telle déclaration, crie très fort, ce qui n’est pas exclu.

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