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La Hongrie présidente

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Après la Belgique, qui a présidé l’Union européenne pendant six mois sans gouvernement, c’est le tour de la Hongrie. Qui ne fait pas partie de la zone euro. Et qui est dans le collimateur des lobbies (mais l’UE fait profil bas) pour une loi qui entre en vigueur aujourd’hui même et qui permet paraît-il à l’autorité de contrôle des médias, composée uniquement de membres du parti conservateur au pouvoir, de sanctionner les contenus qui manqueraient d’« objectivité politique ».

Addendum

Dans un communiqué, le ministère de l'Administration et de la Justice a réfuté point par point les critiques de la loi exprimées par les médias en Europe de l'Ouest, qui "manquent apparemment de connaissance approfondie du texte". "Le gouvernement hongrois reste déterminé à garantir la liberté de la presse et n'a aucunement l'intention d'étouffer les points de vue de l'opposition", dit-il. Budapest se félicite de la décision de l'UE d'examiner la législation et se dit convaincu qu'elle sera jugée conforme aux normes européennes.(Reuters)

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