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Petites phrases

Selon le Guardian, lors du Conseil européen d’octobre, Angela Merkel aurait dit, en réponse au Premier ministre grec George Papandreou qui critiquait le plan allemand de mécanisme d’aide permanent : « Si c’est ce genre de club que devient l’euro, peut-être devrions-nous le quitter. » Le porte-parole du gouvernement allemand a refusé de confirmer ou de démentir.

Patrick Adenauer, petit-fils du chancelier de l’après-guerre et président de l’Association des entreprises familiales allemandes, apporte son soutien à la procédure lancée auprès de la Cour constitutionnelle pour empêcher l’Allemagne de contribuer à de futures aides : « Nous ne voulons pas payer les dettes de la Grèce, du Portugal, de l’Irlande, et puis de l’Espagne, et puis d’autres… »

Dimanche, le Premier ministre tchèque Petr Necas (en poste normalement jusqu’en 2014) a déclaré : « Mon gouvernement ne fixera pas la date de l'adoption de l'euro. (…) A l'heure actuelle, ce serait une bêtise politique et économique. » Il y a quelques jours, le président Vaclav Klaus déclarait : « Surtout depuis la crise de l'euro cette année, il n'y a aucun groupe distinctement défini en République tchèque, ni le gouvernement, ni le Parlement, ni la banque centrale, qui recommanderait notre adhésion à la zone euro dans un avenir imaginable. »

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