Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

25e dimanche après la Pentecôte

Les lectures sont celles du 6e dimanche après l’Epiphanie, qui n’a pas pu être célébré. L’Evangile propose les paraboles de la plus petite semence qui devient un grand arbre, et du levain qui fait fermenter toute la pâte.

En cette fin d’année liturgique, ces paraboles expriment d’abord la croissance de l’Eglise. Issue en effet de la plus petite, la plus misérable des semences, proche du néant (un homme mort sur un gibet), l’Eglise s’est répandue dans le monde entier et a été le ferment de la véritable civilisation.

Mais, comme on le voit aujourd’hui par la sécularisation, les forces du mal, de la régression, ne restent jamais inactives, et tout est toujours à refaire. D’abord en nous, où la semence doit croître en un arbre qui soit toute notre vie, où le levain doit faire lever toute notre pâte afin que nous devenions nous-mêmes pain de vie.

Les commentaires sont fermés.