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24e dimanche après la Pentecôte

Entre le 23e et le dernier dimanche après la Pentecôte, on reprend les chants du 23e, et les lectures des dimanches après l’Epiphanie qui n’ont pas pu être célébrés avant la Septuagésime.

Les lectures sont donc celles du 5e dimanche après l’Epiphanie. L’évangile est celui du bon grain de froment et de l’ivraie (la « zizanie », en grec et en latin). Le centre de gravité du texte se déplace selon le temps liturgique. Après l’Epiphanie, on voit surtout la croissance de l’Eglise, où vont « pousser » des bons et des méchants, des saints et des pervers. En cette fin d’année liturgique, c’est l’image de la moisson qui s’impose, quand le bon grain est monté au grenier, et l’ivraie liée et brûlée.

On constate que ce sont ces deux pôles de la parabole qui forment, l’un l’antienne du Benedictus, à l’office du matin, l’autre l’antienne du Magnificat, à l’office du soir.

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