Alors que la capitale andalouse accueille le « congrès scientifique » de l’industrie de l’avortement, plusieurs milliers de manifestants pro-vie ont manifesté devant l’hôtel où se tient le congrès.
De l’article très documenté de Jeanne Smits, je retiens ce propos d’un médecin porte-parole des organisateurs de la manifestation : « Je suis un professionnel de la santé de la femme, et non de l'avortement et de la contraception. »
C’est ce que les médecins respectueux de la vie doivent dire et répéter aujourd’hui, sans relâche, face aux organisations internationales qui incluent, de façon inique et mensongère, le droit à la contraception et à l’avortement comme des éléments de soin pour la santé des femmes, au point que l’expression « santé génésique », et l’inhumaine expression « santé reproductive », supposent désormais les droits contre nature à la contraception et à l’avortement.