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Les mineurs du Chili

Ils étaient 33. Ils ont été bloqués au fond de la mine le 5 septembre, jour de la fête de la dédicace de Sainte-Marie-Majeure. Il a fallu 33 jours pour que la foreuse arrive jusqu’à eux. Lors des simulations de transport à l’hôpital, les ambulances ont mis exactement 33 minutes. Ils ont été remontés le 13 octobre, jour anniversaire de la dernière apparition de Marie à Fatima, celle de la danse du soleil, celle où Marie disait : « La guerre va finir et les militaires rentreront bientôt chez eux. »

Ils avaient demandé des objets religieux, ils ont eu des chapelets bénis par le pape. Ils ont prié, et ils ont rendu grâce à Dieu.

Commentaires

  • Ce qui a été intéressant, et révélateur, lors de cette affaire, c'est l'attitude des média français : Ils rôdaient autour, en flairant, en cherchant le mauvais coup, en cherchant la faille dans laquelle ils auraient pu s'engouffrer et nous débiter leur dialectique marxiste haineuse. J'ai toujours eu cette impression, en lisant çà et là les informations.

    En effet, si cette affaire avait eu lieu en France, ce ne sont pas des prêtres qui seraient venus autour du puit, mais des Besancenot de tous poils, avec l'invective classique contre les patrons (de la mine), contre les riches qui exploitent des (pauvres) mineurs, et ne garantissent pas leur sécurité pour faire un maximum de profit, le tout avec une bienveillante couverture médiatique.

    Or c'est au Chili que cela s'est passé, et rien de tel n'a eu lieu, au grand dam des média français, qui taisaient messes et chapelets bénis et ont guetté, en vain, le petit signe qu'ils attendaient.

  • Pas faux, je ne crois pas qu'un homme politique aurait eu l'idée débile de faire un discours alors que les mineurs ne sont pas sortis d'affaire, mais par contre pour les chapelets cela a été assez bien étouffé puisque personne n'en a parler dans mon entourage (je n'ai pas suivi l'affaire sauf un peu lors d'un résumé des informations dans je ne sais quel "JT").

  • A FRANCE INTER ILS ONT PARLÉ DE MINEURS ALCOOLIQUES DONT LES MAITRESSES ETAIENT LÀ. PAS UNE OCCASION MANQUÉE POUR DÉMOLIR UNE BELLE INFO.

  • Non, c'est pas ça, en fait il s'agit de malfrats péruviens venus chercher des armes pour renverser le gouvernement chilien (avec l'aide de Ché Guevara), c'est mon téléphone arabe qui me l'a dit...

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