La fin du Tro Breizh « devait être grandiose », à Nantes, dans la cour du château des ducs de Bretagne. Mais la direction du château a interdit les bannières et les prêtres en ornements liturgiques, en fait tout « signe religieux », parce que le lieu est laïque. (Ouest France, via Le Salon Beige)
Aujourd’hui, Anne de Bretagne se ferait expulser de son château…
Commentaires
Nous sommes ici devant la preuve que le laïcisme est une idéologie totalitaire.
Seule la violation de la liberté religieuse ou des droits de l'homme donnent un titre aux autorités laïques à interdire une manifestation.
Nous sommes donc en présence d'une violation de la liberté religieuse des populations par les autorités.
Par exemple si les participants voulaient imposer leur religion par la violence ou la ruse les autorités auraient alors un titre à l'interdiction, ou, autre exemple, s'ils venaient tenter de détruire l'institution sacrée et naturelle du mariage, c'est alors qu'il y aurait un titre à l'interdiction. On constate par ces deux exemples combien les conséquences du laïcisme sont perverses.
En étendant cette notion de liberté religieuse fondée sur le premier commandement, apparaît combien les luttes de l'islamisme, du prosélytisme d'un certain clergé, du lefebvrisme et du nantisme sont objectivement alliées à l'arbitraire laïciste, agnostique ou athée, par communion dans la négation, selon divers modes, de la liberté religieuse.
Si vous luttez contre la liberté religieuse vous luttez contre le droit naturel et contre la raison universelle de l'homme. Si vous le faites au nom de Jésus-Christ, c'est encore pire car vous commettez un horrible blasphème.
Purifions-nous de toutes ces erreurs, purifions la religion à l'invite du Saint-Siège, lequel, hélas, hélas, hélas, doit lui aussi progresser dans sa pratique de la liberté religieuse (interdiction sociologique, ou pire à l'aide faux titres, des rites de saint Pie V, oppression sociologique des fidèles par les évêchés).