« A qui appartiennent ces campagnes ? dit-il un jour à son compagnon de route... A qui appartiennent ces campagnes? vous dis-je. Ah ! vous ne comprenez pas ?... Elles appartiennent à notre grand Dieu ! » Et, transporté d'amour, raconte son biographe, il vole en l'air jusqu'à une certaine distance.
« Mes frères, aimez Dieu! répète-t-il à tous ceux qu'il rencontre, aimez Dieu qui mérite tant d'être aimé ! N'entendez-vous pas les feuilles mêmes des arbres qui vous disent d'aimer Dieu ? O amour de Dieu ! ô amour de Dieu ! »