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Deuxième dimanche après Pâques

Il est appelé dimanche du Bon Pasteur, à cause de l'évangile. L'an dernier, je soulignais qu'en se présentant comme le bon berger, Jésus proclamait sa divinité, puisqu'il renvoyait à des textes de l'Ancien Testament qui donnaient ce titre à Dieu.
Autrefois, on appliquait spécifiquement cet évangile au pape, parce que ce jour-là se réunissait le synode de Rome, sous la conduite de son Pasteur.

Et l'on pensera tout particulièrement à Benoît XVI, qui y avait fait allusion au cours de l'homélie de la messe inaugurale de son pontificat : « Priez pour moi, afin que je ne me dérobe pas, par peur, devant les loups. » Le mercenaire s'enfuit et laisse les loups déchirer le troupeau. Le bon pasteur fait face, défend ses brebis et donne sa vie pour elles.

Les loups sont déchaînés. Nous prions pour le pape. Mais en sachant qu'il est le bon pasteur, et que les loups ne le feront pas fléchir.

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