Selon une étude co-dirigée par le Pr Carmen Sapienza, généticien à l'université Temple de Philadelphie, l'ADN d'enfants conçus par fécondation in vitro est différent de celui des enfants conçus naturellement. Ils présentent de plus grands risques de développer un grand nombre de pathologies. Et selon les chercheurs, ces changements pourraient devenir héréditaires et se répandre d'autant plus largement que le recours à la fécondation in vitro devient plus fréquente.
Commentaires
Vrai,
Ce point m'a été confirmé par le Pr Rethoré de la Fondation Lejeune au cours d'une consultation pour un de mes enfants atteint du syndrome d'Angelman par une anomalie de méthylation (2% d'une prévalence de 1 naissance sur 15000), troisième cas diagnostiqué à Necker en 15 ans. Mon fils a été conçu "à l'ancienne".
Un certain nombre de publications médicales existent sur ce sujet.
Bien à vous.