Le président du groupe libéral au Parlement européen, Guy Verhofstadt, a déclaré que la présidence suédoise devait commencer à appliquer le traité de Lisbonne et nommer un ministre des affaires étrangères et un président, bien que le traité ne soit pas encore ratifié par tous les Etats membres : "Nous n'avons pas à attendre Lisbonne. Commençons la procédure de ces nominations. C'est le meilleur moyen de faire pression sur la République tchèque".
Une fois qu'on a fait une croix sur la démocratie, il n'y a plus aucune raison de respecter le droit.