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« Les cérémonies sont primordiales »

Extrait de l'interview du coordinateur de la cellule psychologique de l'aéroport de Roissy, dans Le Figaro, à propos des personnes qui ont perdu un proche dans l'accident de l'Airbus :

« Ce qui va compter pour la plupart de ces personnes, c'est l'action des autorités vis-à-vis de ce drame. Les cérémonies, par exemple, sont primordiales pour se reconstruire. C'est pour cela que nous travaillons de concert avec le gouvernement. »

Les « psychologues » ont découvert que ce que l'Eglise pratique depuis toujours est « primordial ».

Il leur reste à découvrir la différence entre de vaines cérémonies laïques et celles qui, rappelant à l'homme sa destinée éternelle, lui permettent de se reconstruire par la conversion et l'espérance.

Commentaires

  • Moi qui ai perdu une fille et ses deux enfants dans une catastrophe, je dois dire que l'espérance est un immense soutien qui dispense du psychologue, les cérémonies et les prières communes ravivent l'espérance.

  • Cérémonies pour se reconstruire? Et bien, il va falloir trouver du temps pour des cérémonies en mémoire des enfants avortés... Deux centaines de vistimes soulèvent des vagues de compassion mondiales. Les dizaines de millions de bébés avortés dans le monde n'intéressent plus qu'une minorité de catholiques. Pas question de cérémonies. Quand vous manifestez aux USA contre la remise de diplôme à l'avorteur Obama par une université ex-catholique, la police vous coffre sur le champ.
    La compassion pour des victimes est augmentée quand on s'imagine pouvoir être à leur place. Un foetus on n'imagine pas être à sa place...Mais attention, il y a l'euthanasie qui va règler les problèmes de compassion dans cette société schizophrène.

  • Bien d'accord avec monsieur Duport, une des monstruosités de l'avortement (mais pas la plus grande), c'est que l'on dénie aux femmes (ex mères) et aux pères le droit à la peine et par conséquent à la compassion, à la sympathie. Au contraire cela doit se cacher et on doit sourire et êtres satisfaites.

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