Les pandémies sont le meilleur moyen pour arriver à un gouvernement mondial, dit Jacques Attali.
Lu sur Novopress :
Alors que la crise économique actuelle risque de ressembler à celle de 29 comme la grenouille au bœuf, le président du Fonds monétaire international considère qu'une bonne petite pandémie - pas forcément meurtrière mais en tout cas supposée telle - constituerait un argument autrement plus décisif dans le discours de nos élites cosmopolites pour imposer un véritable gouvernement mondial. Il ne s'agit ni plus ni moins, explique-t-il dans sa chronique du 3 mai du magazine l'Express, que de mettre en place « des mécanismes de prévention et de contrôle, ainsi que des processus logistiques de distribution équitable des médicaments et de vaccins. On devra, pour cela, mettre en place une police mondiale, un stockage mondial et donc une fiscalité mondiale. On en viendra alors, beaucoup plus vite que ne l'aurait permis la seule raison économique, à mettre en place les bases d'un véritable gouvernement mondial. »
Commentaires
C'est tout-à-fait juste, et cela est très bien vu de la part de Novopress.
On nous a subitement fait très peur (images de gens masqués et gantés abondamment diffusées dans les média assorties de commentaires inquiétants : pandémie, stock de médicament, etc.) pour un simple virus bénin. Le but, eh bien le voici dévoilé : constitution d'un grouvernement mondial, et contrôle des populations (bien évidemment sous couvert de bonnes intentions : "C'est pour votre bien"...).
On pourrait rajouter la récente offensive des états contre les "paradis fiscaux", à rapprocher de la mise en place de la fiscalité mondiale, là aussi, naturellement, pour la bonne cause : "C'est pour lutter contre les vilains fraudeurs"...
Monsieur Jacques Attali, qui fut entre autre le "sherpa" de Monsieur François Mitterrand a ceci de particulier qu'il est cultivé et intelligent.
Mais son intelligence est plus brillante que lumineuse. C'est sans doute pour cela qu'il a une nette tendance à prendre les autres hommes pour des imbéciles.
Par les Temps qui courent - et Dieu sait qu’Ils se précipitent – les faux prophètes sont à l’étroit dans les poubelles de l’Histoire. Monsieur Jacques Attali fait partie de ces faux prophètes qui prophétisent du passé. Il affirme avec cette docte assurance qui n’appartient qu’à lui, que « …On en viendra alors, beaucoup plus vite que ne l'aurait permis la seule raison économique, à mettre en place les bases d'un véritable gouvernement mondial. »
Après le « partage » de Yalta, deux superpuissances se sont partagés le monde jusqu’à la chute du mur de Berlin en 1989. Depuis 20 ans le gouvernement capitaliste mondial a régné sans partage et sans partager, sans aucune opposition de qui que ce soit jusqu’à sa chute mondiale de 2009.
Dans les débuts de « la crise », au cours d’un journal télévisé, Monsieur Jacques Attali avait affirmé, en substance, que « les hommes politiques » ne pouvaient rien contre les délocalisations, contre la crise... C’est exact, puisque les multinationales mondiales sont au dessus des nations, des pays et des continents.
Là où Monsieur Jacques Attali et ses amis éprouvent un petit malaise c’est qu’ils sont en train de se rendre compte qu’ils n’arrivent pas à se mettre d’accord. Dans les médias, ils prennent donc un air serein pour nous dire qu’il « faut mettre en place les bases d'un véritable gouvernement mondial » qui a été mis en place depuis vingt ans.
Le seul mot d’ordre qui « guide » Monsieur Attali et ses Amis est : « Toutes ces choses nous dépassent, feignons d’en être l’organisateur ».
Une dernière remarque : Le secret, c’est qu’il n’y a pas de secret.
Puisqu’il n’y a aucune ombre en Dieu, Il ne peut se cacher que dans la Lumière. Il a été très clair le 11 septembre 2001. En moins de deux heures le Centre du Commerce Mondial a été carbonisé pour signifier que le siècle et le millénaire nouveau n’appartiendrait pas au gouvernement capitaliste mondial.
Arold