Dans l'Office de l'Epoux, après les premiers psaumes, le chœur chante trois fois :
« C'est au milieu de la nuit que viendra l'Epoux ; bienheureux le serviteur qu'il trouvera vigilant, malheureux au contraire celui qu'il trouvera indolent. Veille donc, ô mon âme, à ne pas tomber dans le sommeil, de peur qu'à la mort tu ne sois livrée et que les portes du Royaume ne se ferment devant toi, mais redouble de vigilance pour chanter : Saint, Saint, Saint êtes-vous, Seigneur, par la puissance de votre croix ayez pitié de nous. »
Et les matines se terminent par ce tropaire chanté lui aussi trois fois, et qui fait également référence à une autre parabole des Noces :
« Votre chambre nuptiale, ô mon Sauveur, je la vois tout ornée, et je n'ai pas l'habit nuptial pour y entrer. Blanchissez la robe de mon âme et sauvez-moi, vous qui donnez la lumière. »
Commentaires
C'est absolument magnifique et l'âme est remplie de ravissement au sens premier de ce substantif.
Merci,Yves Daoudal.