Une personne en bonne santé met deux semaines à mourir de soif, comme l’ont indiqué les médecins, et comme saint Maximilien Kolbe l’a prouvé, si l’on ose dire.
Eluana est morte seulement trois jours après qu’on eut commencé à réduire son « alimentation artificielle », alors que ses fonctions organiques étaient parfaites.
La première idée qui vient à l’esprit est évidemment qu’on l’a tuée. D’autant que l’un des médecins avait affirmé : « Elle ne souffrira pas. » Ce qui laisse penser qu’on lui a administré des sédatifs à forte dose, qui ont pour effet de provoquer une dépression respiratoire et une mort par étouffement. Or Eluana est morte officiellement à la suite d’une « détresse respiratoire ».
Dans le cas de personnes dans le coma, « cette sédation aurait un but direct de dépression respiratoire, c’est-à-dire d’euthanasie », disait l’an dernier le Dr Anne-Laure Bloch, neurochirurgien à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, lors de son audition sur la loi Léonetti.
Mais elle disait aussi :
« On remarque, sans avoir pu l’expliquer, qu’un malade qui quitte le service où il se trouve depuis plusieurs années pour une nouvelle structure, meurt souvent quelques jours après. » Jean Léonetti lui demandait : « Parce qu’il y a eu rupture de soins ? » Elle répondait : « Non, on continue à s’occuper de lui. Mais il s’est passé quelque chose entre ces malades et les personnes qui en ont pris soin, je pense. C’est assez mystérieux… »
Commentaires
L'Etat est homicide par le financement de l'avortement, par l'euthanazie. Il remplit ainsi l'inverse de la fonction pour laquelle il est institué par Dieu : protéger les faibles et défendre les droits de l'homme.
Il ne faut pas s'étonner si, nous avons dans notre pays s'installe par le droitdelhomisme la violation institutionalisée des droits de l'homme (dont le droit à son territoire pour chaque peuple dont le peuple français, car il est moins précieux que le droit-devoir à la vie pour tous).
Sérions donc les problèmes : d'abord la vie, puis le territoire.
Contrairement à ce que croit le docteur Bloch il n'y a rien de mystérieux dans le fait de tuer un malade encombrant. C'est une simple question de technique médicale et de progrès dans les droidloms, comme de rebaptiser l'avortement "ivg". L'Humanité s'achemine tranquillement vers l' ivv (interruption volontaire de vie) généralisée pour s'assurer une existence "relax" et sans problèmes de conscience au moins jusqu'à un certain âge .Au-delà, Atila, pardon, Atali, a déjà expliqué ce qu'il faudra faire. .On verra s'il donnera l'exemple en ce qui le concerne quand il atteindra le point au-delà duquel le ticket de vie ne devrait plus être valable selon lui.