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4e dimanche après l’Epiphanie

L’évangile est celui de la tempête apaisée. « Quel est-il donc celui-là, que même les vents et la mer lui obéissent ? », se demandent « les hommes ».

Mais pour ces « hommes », ce qu’ils venaient de vivre était ce qu’ils récitaient à la synagogue dans le psaume 106, dont huit versets décrivent précisément la scène. Or, dans le psaume, c’est le Seigneur tout-puissant qui apaise la tempête.

« Les hommes » connaissent donc la réponse à la question, qui est en réalité une expression de leur stupéfaction : cet homme-là est infiniment plus qu’un homme, il est Dieu. Il vient d’apparaître comme Dieu : cet épisode est aussi une épiphanie.

Et demain, c’est la fête de la Purification de la Sainte Vierge, l’entrée de Jésus dans le Temple, fête des lumières de la Chandeleur : la dernière épiphanie de l’Enfant Dieu : « Lumen ad revelationem gentium ».

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