On va vers la pénalisation de toute critique du « métissage », c’est-à-dire du multiculturalisme, souligne Ivan Rioufol. Dernier exemple en date :
C’est Edwy Plenel, ancien directeur de la rédaction du Monde, qui s’est fait, dimanche, le porte-voix de cette nouvelle interdiction de penser en soutenant - lors d’une table ronde sur “Les médias face à l’antisémitisme” à laquelle je participais - que s’il faut bien sûr résister à l’antisémitisme, il fallait aussi combattre le “nouveau racisme” que serait la critique du métissage. Ce raisonnement est l’illustration de la remarque d’Alain Finkielkraut, décrivant en 2006 l’idéologie antiraciste comme “le communisme du XXIe siècle”.
On peut déjà trouver suspect l’éloge du métissage, compris comme une supériorité. Mais le mot ne désigne pas, en l’occurrence, le mélange des sangs qui n’est pas un problème pour la France, dont la Constitution ne fait pas de différence entre les races. C’est la critique du métissage culturel, c’est-à-dire du multiculturalisme, que Plenel voit comme un nouveau racisme. Il cautionne l’interdiction de critiquer ceux qui demandent à la France, démocratie ouverte, de renoncer à la centralité de son identité.
Commentaires
Pour comprendre d'où vient cette facilité à demander des interdictions assorties de pénalisations, il faut rappeler qu'Edwy Plenel, alias le camarade Krany (dans sa jeunesse), alias Benet (surnom dont l'ont affublé les sbires du cabinet noir de Mitterand, chargés des écoutes téléphoniques) est un trotskyste pur et dur, qui n'a rien renié.
Il est affligeant de constater que de tels personnages, à l'idéologie totalement caduque, disposent encore d'une large audience médiatique.
Rioufol contre Plenel ! A mourir de rire ! Les deux idiots utiles du système, Les bonnes consciences, de la gauche pour le moustachu, de la droite pour l'escroc patenté.
Je me demande si Plenel n'est pas plus honnête que ce Rioufol qui, des deux, doit le plus haïr le Front National.