« Palme d’or à Cannes : des non-acteurs, un non-film, une vraie propagande ».
Ce titre de une est le résumé de mon éditorial et de l’article de Béatrice Pereire.
Topoline évoque Paris complètement bloqué samedi après-midi par la manifestation des enseignants et celle, dont on n’a pas parlé, des évangélistes façon gay pride.
Jean Roberto souligne que l’affaire de Draguignan n’est pas une bavure et que Michèle Alliot-Marie a très mal agi. (L’une des raisons qu’avait le gendarme pour tirer était la sécurité des enfants, dans l’école qui était juste à côté, école tenue par mes amies Dominicaines du Saint-Esprit, dans la cour de laquelle le gitan s’est précisément introduit avant de tomber mort.)
Michel Limier s’intéresse à Claude Goasguen, le porte-parole de la fronde anti-Sarko à l’UMP.
Roger Holeindre écrit une lettre ouverte au directeur du Parisien, pour répondre, avec sa vigueur habituelle, aux propos de Michel Tauriac parus dans ce journal concernant De Gaulle et l’Algérie.
Alexandre Martin examine de près la révolte des marins-pêcheurs.
Serge Omara évoque la tournée entreprise par Louis Aliot, secrétaire général du FN, dans les fédérations.