La commission de la chambre brésilienne des députés pour la sécurité sociale et la famille a rejeté mercredi 7 mai une proposition de loi légalisant l’avortement. Et d’une façon qui a même surpris les organisations pro-vie, puisque la proposition, soutenue par le président Lula, a été rejetée par 30 voix contre zéro. Deux députés membres de la commission, favorables à l’avortement, s’étaient retirés pour protester contre l’écrasante majorité qui se dessinait contre la proposition de loi. Ils ont été remplacés par leurs suppléants... qui ont voté contre.
(Lifenews, via avortementivg, via le Salon Beige)
Commentaires
C'est bien la preuve qu'il faut lutter et lutter politiquement en qualité de catholiques.
L'avenir est à nous, nous avons la vérité ce qui nous rend sereins, joyeux, enthousiastes pour les droits de l'homme et la liberté religieuse. Le Brésil respecte les droits des tout petits, il respecte les droits de l'homme, merci à lui de nous redonner confiance.
Du grand Denis Merlin!
Comme je vois, les choses ne s'arrangent pas, ni du côté du roi, ni de celui de ses sujets, de sa cour ou de ses fous, ce qui revient d'ailleurs à peu près au même...
J'en profite pour vous faire mes adieux, n'en ayant pas eu l'occasion, en citant l'un de mes excellents et spirituels amis : " inutile d'intervenir sur ce blog, ces gens sont beaucoup trop loin, personne ne peut plus rien pour eux "...
Voilà qui est d'une justesse et d'une concision remarquables...
Cher Robert,
Vous avez bien vu qu'il s'agit d'une décision démocratique. Je ne vois pas où est le problème.
A moins que vous ne vouliez imposer le laïcisme au nom de la "vérité".
Le laïcisme n'est pas au-dessus du peuple. Et même une saine démocratie devrait le marginaliser, car il occupe induement le centre.
Le peuple devra lui arracher son masque ; car son vrai nom est "athéisme d'Etat".
@Robert. Je vous salue également. Nous n'étions pas d'accord. Je tiens cependant à vous remercier du temps que vous avez bien voulu prendre pour essayer de nous convaincre.
Il faut prendre soin de soi. Je lisais vos interventions ici, j'ai parcouru votre blog. Vous le savez, nous ne sommes violents que par impuissance, raides par désespoir. Celui qui plaide, argue, craint pour sa cause.
Je vous souhaite - comme à nous tous - qu'en la fièvre de vos entreprises et le tumulte de vos procès, vous puissiez percevoir dans le silence les pas à vos cotés d'un Dieu fait homme par amour pour vous. Et que vous, comme nous, acceptions ce désistement total de toutes nos faiblesses pour accépter de tomber dans l'Amour.
Vous êtes attendu et avez votre place parmi nous.