Dans un communiqué particulièrement filandreux à propos de Chantal Sébire, l’Ordre des médecins souligne qu’il a largement contribué à l’évolution législative dite loi Leonetti, rappelle que le médecin doit conserver sa liberté de conscience, qu’il « ne peut avoir droit de mort »... « Pour autant » le corps médical « ne peut occulter son engagement dans les drames de la vie dont la mort fait partie »... Mais il ne peut agir que dans le cadre légal... et « dans le respect de la personne responsable d’elle-même, libre, clairement et loyalement informée »... Par conséquent l’Ordre « entend participer activement aux débats qui seraient engagés dans les prochaines semaines et contribuera à l ‘éventuelle évolution législative qui en découlerait ». Et il évoque « l’assistance médicale à la mort délibérée ».
Voilà arrivée la nouvelle appellation de l’euthanasie.
Commentaires
C'est la magie du verbe, ces "médecins" baptisent l'assassinat "assistance médicale à la mort délibérée" et croient (?) ainsi s'être exonérés de leurs responsabilités.
Il est vrai que dans le cadre du laïcisme maçonnique, chacun construit sa morale comme il l'entend et doit mépriser, ou au moins ne pas tenir compte, de la seule autorité morale sur la terre : l'Eglise catholique.
Même si vous y êtes provoquée par la victime qui devient ainsi votre complice (syndrôme de Stockholm ?), tuer quelqu'un, même par pitié, est un homicide et, en cas de préméditation, un assassinat.
Ces "médecins" qui admettent les tueurs à gages dans leurs rangs ("médecins" pratiquant l'avortement) ont franchi la ligne rouge, il y a longtemps.
Stupéfiante logorrhée que voilà…
Et que faites-vous, en bon chrétien que vous êtes, de la souffrance physique et morale des personnes concernées, que vous n’abordez d’ailleurs même pas ?
Assistance médicale à la mort délibérée" Voici une expression typique du vocabulaire maçonique. Le Dr Pierre Simon a décrit le programme des loges dans son livre "De la vie avant toute chose". L'euthanasie est la dernière étape de ce processus de manipulation de l'opinion qui a commencé par "la contraception, l'avortement, puis l'euthanasie" Je ne mentionne pas toutes les manipulations de la bioéthique...
Assistance médicale à la mort délibérée" Voici une expression typique du vocabulaire maçonique. Le Dr Pierre Simon a décrit le programme des loges dans son livre "De la vie avant toute chose". L'euthanasie est la dernière étape de ce processus de manipulation de l'opinion qui a commencé par "la contraception, l'avortement, puis l'euthanasie" Je ne mentionne pas toutes les manipulations de la bioéthique...
Les circonstances atténuantes, ça existe. Un meutre est un meutre. Il n'y a pas à modifier la loi.
'Faire évoluer' qu'ils disent, tout en posant en portiers de la neutralité...
Cher Monsieur Lapinos,
Apparemment, je dois mal m'exprimer car vous me reprochez de dire le contraire de cette affirmation :
"Les laïcs français cherchent au contraire à imposer au plus grand nombre leur morale."
Je crois au contraire vouloir dire que le laïcisme veut imposer sa morale, sans aucun titre à le faire parce qu'il n'a aucune autorité morale (seul le pape et les évêques ont cette autorité). Donc je suis parfaitement d'accord avec vous.
En général, cher Monsieur, si vous voulez polémiquer, je crois que ce n'est pas le lieu. Monsieur Daoudal nous héberge chez lui, il n'est pas très intéressé par nos querelles d'Allemands.
Mais votre objection met en pleine lumière la contradiction interne de la morale maçonnique. C'est très juste.
Je propose donc "assainissement volontaire de peuplement" pour génocide...
Les lobbies mondialistes font leur travail de destruction des nations et des peuples !
A Marc : OK, pour votre définition du génocide. Et pour la shoah ?
Oui, oui, d'accord Monsiuer Lapinos.
Les laïcistes imposent une morale, imposent une "doctrine" lorsqu'il partent du principe de la "liberté de conscience", ils en arrivent rapidement à une morale positive obligatoire qui désaprouve la morale catholique. C'est dans le fond, la vieille, très vieille contradiction interne, le sophisme, du sceptique.
C'est en raison de leur principe selon lequel faut mettre au principe de la morale, la tolérance, alors que la tolérance est une valeur, mais secondaire. Le cardinal Bertone explique très bien cela dans un discours de novembre 2007.
Le cadre de nos posts nous interdit, bien évidemment, de traiter tout cela dans le détail. Nous n'écrivons pas un traité, d'où d'apparentes contradictions. Mais nous somme d'accord entre nous, Monsieur Lapinos, nous avons observé les mêmes faits.