Ce sont des chercheurs de l’université du Michigan qui le soulignent dans une étude, publiée dans les Annales de l'Académie nationale des Sciences américaine...
«Le divorce provoque généralement le déménagement d'un des ex-époux et la création d'un nouveau foyer, d'où une augmentation des terrains et des équipements dédiés à l'habitation. » Les taux plus élevés de divorce «ont conduit à une augmentation du nombre de foyers» et cela entraîne davantage de gaspillage énergétique ». En 2005, les ménages de divorcés américains ont dépensé 56% de plus d'électricité et d'eau par personne que chez les couples mariés, et utilisé 61% de plus de ressources énergétiques par personne qu'avant leur séparation. «Plus de 73 milliards de kilowatts/heure d'électricité et 2.373 milliards de litres d'eau auraient pu être économisés aux Etats-Unis. » « En raison d'une plus grande consommation par personne, une personne dans un ménage de divorcés est supposée également générer plus de déchets (solides, liquides et gazeux, comme les gaz à effet de serre) qui contribuent aux transformations de l'environnement mondial, comme le changement climatique et la perte de la biodiversité. »
Donc, si l’on veut sauver la planète, il faut lutter contre le divorce...