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Promesses grenellisées

Communiqué de Jean-Marie Le Pen

Comme on pouvait s’y attendre, le « Grenelle de l’environnement » a débouché sur un... discours.

Une fois de plus sont faites des promesses, qui n’engagent que ceux à qui elles sont faites. Et la plupart de ces promesses n’avaient assurément pas besoin d’une telle mise en scène pour être énoncées.

La présence tutélaire d’Al Gore ne peut que provoquer un malaise. La France n’a pas besoin d’un chaperon, comme par hasard américain, qui donne son satisfecit au nom d’une quelconque autorité morale, fût-elle celle d’un prix Nobel, d’ailleurs controversé.

(Sur Canal Plus, Jean-Marie Le Pen a noté que la parmi les mesures anoncées la plus concrète était la taxe carbone. Il a ajouté: "Tout le reste fait partie du rêve dans lequel le petit Harry Potter de l'Elysée entretient la France. Ce genre de manifestation me paraît se rattacher beaucoup plus à la magie qu'à la politique.")

Commentaires

  • Toute cette histoire est faite pour flatter nos bobos écolo-gauchistes. On y trouve déjà un superbe terme marketing. Ah ! les accords de Grenelle ! tout cela rappelle le bon vieux temps ! mai 68, le grand soir ... ! CRS SS ! (que ces chers bobos sont les premiers à appeler s'ils surprennent un "jeune" en train d'uriner dans leur cage d'escalier), mon Dieu, que de souvenirs ! que c'est émouvant !

    On y trouve une apparence de démocratie, façon soviet, bref, tout les professionnels de la parlote s'y retrouvent pour exposer leurs inepties, tout en versant une larme d'émotion. Pensez-donc, Grenelle.. ! le mot est magique !

    NS, en vieux routard de la communication, a très bien compris tout cela, et en joue habilement.

    Aux yeux de ces gens-là, je suis peut-être un hurluberlu, mais je crois que 1 + 1 = 2, que la France est en état de quasi-faillite, qu'une immigration-substitution s'est mise en place, et que les responsables politiques de notre pays feraient mieux de s'attaquer aux vrais problèmes, plutôt que d'enfanter des bidules destinés à amuser la gauche caviar.

  • Et le vrai problème, c'est d'arrêter la destruction à petit feu de notre environnement, faute de quoi, quand la moitié de la planète sera totalement affamée, ca ne servira plus à rien de pleurnicher sur l'immigration qui sera devenue à ce moment proprement gigantesque.

  • Comme vous le dites si bien, Ysengrin, tout cela nous est imposé par ces mini-dictateurs que sont ces bobos écolo-gaucho-mondialistes : nous sommes maintenant sous la botte d’un Nicolas Hulot, qui, selon ses propres critères, est en fait un des grands pollueurs de la planète, mais lui en a le droit puisqu’il hurle avec les loups!
    Malheureusement, dans la tête de beaucoup de gens, Malthus n’est toujours pas mort ; et la peur de l’an 2000 perdure !

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