Des chercheurs britanniques ont établi des bases scientifiques d’une corrélation entre le changement climatique et l’extinction des espèces.
Ils aboutissent à la conclusion que chacune des cinq périodes de déclin de la biodiversité dans l’histoire de la Terre a correspondu à une période de réchauffement. Et ces périodes de réchauffement étaient dues à des pics de gaz à effet de serre. De ce fait, si le réchauffement climatique actuel et à venir est celui que disent les experts du panel de l’ONU, les extinctions d’espèces vont se multiplier.
Ce que l’on remarque aussitôt est l’affirmation selon laquelle les cinq périodes de réchauffement sont dus aux gaz à effet de serre, sans que soit donnée la moindre indication sur leur origine.
Précisons que ces cinq périodes remontent à un temps où l’activité humaine ne pouvait pas en être responsable, pour la bonne raison que l’homme n’existait pas (la dernière période est celle de l’extinction des dinosaures)...
Commentaires
Et donc, vous pensez que l'émission massive de gaz à effet de serre par l'activité humaine n'a rien à voir avec ça ?
[95% des "gaz à effet de serre" sont constitués de vapeur d'eau naturelle. Le reste se répartit entre CO2, méthane, etc. Le CO2, c'est environ 3%. Le CO2 anthropique, c'est moins de 0,3%. Ce n'est pas vraiment "massif"... YD]
Detoutes façons, dans le domaine du politiquement correct et de la pensée unique, même les faits ne suffisent pas à invalider leurs théories fumeuses.
Le pouvoir des médias et des groupes de pression est hallucinant.
J'entendais ce matin sur Europe 1 qu'Al Gore se faisait payer 100.000 $ par conférence, mais que sa présence bénévole au Grenelle de l’environnement était une sorte de geste commercial. Comme si l'écologie était son business.
Nier le réchauffement par l’homme, c’est priver tous les Al Gore de leur gagne-pain. On comprend mieux pourquoi certains font une affaire personnelle de ce genre de thème. Le problème est que tout cela va coûter très cher. Comme d’habitude, le bien-être commun va être sacrifié au profit de quelques uns…
Comme le précise Daoudal, la contribution des activités humaines à l’effet de serre est inférieure à 0,3%. Mais toutes ces évaluations sont entachées d’incertitudes largement supérieures à cette valeur. Il serait donc plus honnête de dire que statistiquement, cette contribution, calculée directement à partir des activités humaines, est noyée dans le bruit de fond des mesures et n’est même pas mesurable directement.
[Pertinente remarque. YD]