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La tragi-comédie du DAL, acte 3

Des policiers et des gendarmes mobiles sont intervenus peu avant 5h ce matin pour évacuer les « mal logés » installés dans des tentes du DAL rue de la Banque.

Jean-Baptiste Eyraud a dénoncé « le choix opéré par le gouvernement d’employer la force, la violence, la brutalité, plutôt que de choisir une autre solution concrète de relogement ». Et il a annoncé la tenue d’une « assemblée générale » dans la matinée, car « le mouvement va continuer ». On s’en doute...

Ainsi, mercredi matin, la police empêche une opération du DAL en interpellant les participants et en confisquant les tentes. Puis elle laisse le DAL installer des tentes rue de la Banque. D ’abord elle observe le manège, puis s’en va. Et ce matin elle évacue les manifestants.

A quoi ça rime ? Michèle Alliot-Marie et Christine Boutin se crêpent-elles le chignon ? Ou s’agit-il tout simplement de la poursuite de la politique du n’importe quoi, en attendant, comme sœur Anne, la « rupture » ?

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