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Martinez et Ratatouille

Jean-Claude Martinez organise le premier colloque Identité-Traditions-Souveraineté à Biarritz les 8 et 9 septembre : « Faire de la politique : pour aller où ? Avec qui ? Comment ? »

Le dépliant de présentation s’ouvre sur le dessin du rat du nouveau film de Walt Disney : « Et si l’avenir c’était Ratatouille ? »

Jean-Claude Martinez souligne que face à la mondialisation qui agresse le politique et la démocratie, on constate un déficit d’imagination et un piétinement de l’action gouvernementale, « réduite au massage médiatique, sans message politique ».

C’est pourquoi Jean-Claude Martinez résume la  réflexion menée au cours de ce colloque par cette réplique du critique culinaire dans le film Ratatouille : « Servez-moi une perspective. »

Outre Jean-Claude Martinez interviendront Patrick Saerens (ICHEC de Bruxelles), Jean-Baptiste Geffroy (université de Poitiers), Thierry Bouclier (avocat), Jean-Pierre Thiollet (journaliste), Lure Pontes Vieira (avocat brésilien), Gaston Kongbre (doctorant de Centre-Afrique), Liliana Gonzalez (doctorante vénézuélienne), les députés européens Paul-Marie Coûteaux et Fernand Le Rachinel.

Renseignements auprès de Jean-Claude Martinez au 04 67 58 28 77.

Commentaires

  • Permettez-moi de dire que je ne comprends pas très bien l'idée de Monsieur Martinez.

    Le film Ratatouille est d'un mauvais goût répugnant. Il est en outre profondément ennuyeux. L'idée de présenter des rats comme sympathiques a été trouvée par Jack Marchal, il y a environ trente cinq ans. Jack Marchal a fait des bandes dessinées inifiniment plus talentueuses que ce qu'a produit, à sa suite, la firme Walt Disney.

    Je ne comprends pas que l'on fasse de la publicité pour ce film.

  • C'est bien que J-C. Martinez invite PM Couteaux qui est quelqu'un de brillant et courageux défenseur de la souverainneté française contre les menaces de l'UE.
    J'apprécie aussi le lien défense de la nation et démocratie menacée par la post-démocratie technocratique.
    C'est comme cela que se font les ponts et cela prouve la "modernité" des idées nationales. La nation, non par repli mais au contraire comme condition de la démocratie réelle et de la rencontre réelle des autres.

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