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Les campeurs ivoiriens d’Aubervilliers

La ville d’Aubervilliers a demandé hier au tribunal de Bobigny de prononcer l’expulsion d’une centaine de squatteurs ivoiriens qui campent sur le parvis d’une école. Le juge rendra sa décision le 3 septembre, veille de la rentrée scolaire...

Ces Ivoiriens font partie des immigrés qui squattent 98 logements sociaux laissés vides pour être réhabilités. La plupart de ces logements sont sous le coup de décisions judiciaires d’expulsion.

L’avocat de la ville a souligné que la plupart des familles ne sont pas à la rue et habitent toujours les logements squattés. Ce qui montre que les tentes installées devant l’école ne sont qu’une « manifestation de colère et de pression ».

Evidemment. Les squatters sont « soutenus » par le DAL, et c’est une avocate du DAL qui défend leur « droit au logement » et leur « droit d’expression » (sic).

L’Office HLM et la ville refusent catégoriquement de reloger les squatteurs : « Aubervilliers a la population la plus pauvre d’Ile-de-France, plus de 40% de logements sociaux, et des délais d’attente de 3-4 ans pour un F3, 7-8 ans pour un F4, et 10-12 ans pour un F5. »

Mais il ne doit pas y avoir de délai pour les Ivoiriens...

Commentaires

  • Quand on comprend rien on se tait. La ville a raison. C'est inadmissible que ce juge repousse la décision la veille de la rentrée. Tout ça parce que cette ville est comuniste! Où va-t-on...

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