Le président de la République continue de sacrifier aux exigences de la pensée unique, quant à la « parité » et à la « diversité » ; il récompense les centristes ralliés, et poursuit son ouverture à gauche, en faisant entrer deux autres socialistes au gouvernement : Jean-Marie Bockel, et Fadela Amara, dont le lobby Ni putes ni soumises était en perdition.
On note aussi que le nouveau ministre de l’Agriculture, Michel Barnier, est un euromondialiste fanatique.
Nicolas Sarkozy ne fait donc qu’accentuer dans le mauvais sens les orientations qu’il avait prises en formant son premier gouvernement.