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National Hebdo N° 1192

On lira dans ce numéro un grand entretien avec Jean-Marie Le Pen sur la présidentielle, sur les législatives et sur le nouveau gouvernement. « La remarque que l’on peut faire c’est que les électeurs de la droite nationale sont les seuls à ne pas avoir de représentants au gouvernement. Ni M. de Villiers, rallié de fraîche date, ni M. Dupont-Aignan n’ont été appelés, parce qu’ils continuent de faire partie des “horribles“. » « Le vote de l’élection législative, ce n’est pas le choix entre Sarkozy et le socialo-communisme. C’est le choix entre des options nationales : celui d’un parti politique, l’UMP, qui disposait depuis cinq ans de près de 360 députés, directement responsable de la politique qui a été menée par M. Chirac et M. Sarkozy, et le Front national qui n’a plus d’élus à l’Assemblée nationale depuis 1988. » « La subvention d’Etat est liée au nombre de voix que nous allons faire aux législatives. Par conséquent, elle est essentielle, car c’est notre moyen d’existence. Si nos électeurs veulent qu’il y ait un mouvement national organisé et structuré, il faut qu’ils aillent voter, même s’ils n’en ont pas tout à fait le désir. »

Dans sa Semaine, Topoline commente également la composition du nouveau gouvernement. Elle s’étend sur l’épisode Védrine, et cite de fort intéressants propos de l’ancien ministre des Affaires étrangères, tirés de son dernier essai Continuer l’histoire.

Alexandre Martin se penche sur Guy Môquet, rappelant que le parti communiste avait été interdit sous le gouvernement Daladier, et que c’est en vertu de cette interdiction que l’adolescent militant fut arrêté, à un moment où le parti communiste, au nom du pacte germano-soviétique, fustigeait la « guerre impérialiste » et sabotait les matériels militaires. Il souligne qu’il n’y a pas la moindre allusion patriotique dans la fameuse lettre que Sarkozy veut faire lire dans les écoles.

Michel Limier brosse le portrait de Bernard Kouchner, « un Rastignac socialiste, parfaite incarnation de la gauche caviar ».

Béatrice Pereire ironise su la gauche qui non seulement n’a plus d’idées mais a perdu jusqu’à son identité.

A noter aussi l’article d’Eric Pasaro sur Saint-Simon et les saint-simoniens, à l’occasion d’une exposition à la Bibliothèque de l’Arsenal.

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