« Sarkozy et Royal : des pactes pour le pire : dérisoires et démagogiques, et fort coûteux. » Tel est le titre, et le thème de mon éditorial.
Pour suivre, des échos de la campagne de Jean-Marie Le Pen (à Nantes, et sur TF1).
Jean Roberto raconte les mésaventures de Francis Terquem, poursuivi pour violences volontaires aggravées sur son ex-femme, et rappelle qui est cet avocat du MRAP, cofondateur de SOS Racisme.
Michel Limier revient sur le parcours de José Bové, finalement candidat à la présidence de la République… pour le moment.
Topoline fait longuement écho à un livre intitulé L’immigration par escroquerie sentimentale, qui explique le fonctionnement des « mariages gris », favorisés par la législation française, et dont les dégâts sont bien pires que ceux des « mariages blancs », car l’un des conjoints (le Français) est de bonne foi et voit sa vie brisée.
Dans ses « Réminiscences à bâtons rompus », Jean Bourdier évoque Gaston Bonheur.
Alexandre Martin montre que les délocalisations ne sont pas fatales, même dans les conditions actuelles, et que plusieurs entreprises en font la démonstration.
Georges Eric Wolff nous apprend comment la Cour internationale des droits de l’homme demande au gouvernement péruvien d’indemniser les familles de terroristes du Sentier lumineux qui s’étaient révoltés dans la prison de Lima et furent tués par la police (qui eut elle-même des victimes), d’organiser une cérémonie de repentance, et d’édifier un monument à la mémoire de ces terroristes…
Béatrice Pereire nous conte le « goulag fleuri » qui se profile, dans une société de la peur où tout est gouverné par le risque zéro, le principe de précaution et le politiquement-écologiquement-sanitairement correct.