Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

La loi Gayssot-bis

Communiqué de Jean-Marie Le Pen

Le président de la République lui-même avait dit que ce n’est pas à la loi de faire l’histoire, en accord avec le bon sens et avec les historiens, quelles que soient leurs opinions politiques.

On croyait donc que c’en était fini des lois totalitaires imposant une histoire officielle. Les socialistes, avec la complicité de parlementaires de la majorité, veulent néanmoins faire voter une loi Gayssot-bis, réprimant la contestation du génocide arménien.

Prétendant rendre une telle loi « raisonnable », Patrick Devedjian ajoute le scandale au scandale, avec un amendement selon lequel l’interdiction de la contestation ne s’appliquerait pas aux recherches universitaires ou scientifiques.

Il y aurait ainsi deux catégories de citoyens. Le professeur qui peut dire ce qu’il veut, et Glandu qui serait traîné en justice s’il répète ce qu’a dit le professeur.

C’est une nouvelle étape dans le démantèlement de l’Etat de droit.

Les commentaires sont fermés.