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Squat, drogue et droits de l’homme

Réseau Ferré de France (RFF) a engagé une procédure de référé pour faire évacuer un local qui lui appartient et qui est occupé par une vingtaine de consommateurs de crack, près de la Porte de la Chapelle à Paris. L’avocate des squatteurs est Dominique Noguères, vice-présidente de la Ligue des droits de l’homme. S’il vous plaît. Elle s’oppose à l’évacuation parce que « cela fait un certain nombre de mois que ce squat existe » (sic), et parce que s’il était évacué, le trouble manifestement illicite que dénonce RFF « va exister à une plus grande échelle dans l’ensemble du quartier ». Les droits de l’homme impliquent donc qu’on puisse tranquillement se droguer, faire du trafic de drogue et se livrer à des activités de prostitution (aussi) dans des locaux dont on n’est ni propriétaire ni locataire.

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