D'autres images de Poutine et Loukachenko hier au monastère de Valaam. A 1'08, une pancarte "Plantation Poutine Vladimir Vladimirovitch".
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D'autres images de Poutine et Loukachenko hier au monastère de Valaam. A 1'08, une pancarte "Plantation Poutine Vladimir Vladimirovitch".
Commentaires
Pourriez-vous, Yves Daoudal, nous préciser les raisons de cette récente rencontre entre Loukachenko et Poutine ?
D'une manière assez particulière, l'opération spéciale semble avoir rapproché les deux hommes, au-delà des simples relations diplomatiques. On devine comme une amitié entre eux. Ce qui serait nouveau car Poutine ne semblait pas prêter une considération confiante dans le Président Biélorussie jusqu'en 2022. A l'inverse, Loukachenko, qui a paru longtemps avoir conservé les réflexes des anciens dirigeants de l'Union soviétique, s'est révélé dans la crise ukrainienne, et cela immédiatement, un soutien fidèle inspirant beaucoup de sympathie.
A chacune de leur rencontre, vous n'avez pas manqué de souligner leur proximité religieuse, sous l'apparence de visites dans des monastères.
Loukachenko avait de l'admiration pour Saint Jean-Paul II, il avait dit de lui, de son vivant, que c'était un saint. Un homme comme Loukachenko ne peut être qu'un homme fondamentalement bon.
Qu'elle différence avec notre Président bien-aimé, Macron, qui préfère s'entourer de drag Queens et d'autres personnages aux mœurs dissolues et décadentes.
La France n'est pas prête à sortir du trou où elle est tombée, car le peuple français lui-même se complaît dans les délices de la décadence.
Comme l'a écrit Tite-Live : nous ne supportons plus les vices qui nous accablent et encore moins les remèdes qui nous en guériraient.