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Ils n’en veulent plus

Voilà quatre mois que la Russie a communiqué à l’Ukraine une liste de 500 prisonniers de guerre, à échanger contre le même nombre de prisonniers russes en Ukraine. Mais le gouvernement ukrainien n’accepte de reprendre que 38 d’entre eux, essentiellement des nazis du régiment Azov.

La rédactrice en chef de RT, Margarita Simonian, a publié hier soir les noms des 500 prisonniers ukrainiens : « Je pense qu'il sera intéressant pour les épouses, les mères et les citoyens ukrainiens en général de lire cette liste. »

Commentaires

  • Comme le faisaient les bolcheviques, les soldats qui ne se font pas tuer sur place et sont pris par l'ennemi sont considérés comme ayant trahi. Autrefois, ils étaient fusillés ou finissaient au goulag.
    Les banderistes ou assimilés doivent être considérés comme des unités de représailles nécessaires pour "motiver" ou réprimer les soldats peu motivés à se faire couper en morceaux. Ceux d'entre eux qui ont survécu depuis deux ans doivent être vus comme des fanatiques, même si certaines de leurs unités ont préféré récemment fuir le combat quand ça tournait mal pour eux. Mais face à la débâcle ukrainienne, ce genre de troupes devient indispensable au régime, comme les SS pour Hitler.
    Faire revenir les prisonniers au pays, c'est admettre que leur armée n'est pas invincible et que les russes ne massacrent pas tous les soldats qui les ont combattus, devoir payer des salaires et indemnités aux familles quand parler de désertion suspend tout, et risquer d'en entendre certains raconter une autre réalité du terrain, et de la cruauté de l'ennemi, aux citoyens ukrainiens.
    Je ne crois pas ce que disent les russes sur parole, sans avoir d'autres point de vue fiable pour comparer, mais ce conflit à démontré le peu de cas des vies humaines de la part du régime de Kiev.

  • Je croyais que la pratique dans ce conflit était l'échange de tous contre tous.

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