Le célèbre chef du Renseignement militaire ukrainien, Kyrylo Boudanov, a fait hier devant la presse deux déclarations qui ont été fort différentes de ce que les journalistes attendaient :
« Je vais peut-être vous décevoir, mais Navalny a vraiment eu un caillot de sang qui s'est détaché. »
II confirme ainsi que l’assassin de Navalny ne s’appelle pas Poutine, mais Pfizer, puisque l’opposant patenté avait exigé en Allemagne d’être injecté avec le produit Pfizer pour ne pas recevoir le vaccin russe, et que la mort par caillot est le plus fréquent effet secondaire de l’injection.
« La Russie ne possède pas de missiles iraniens. Quelques missiles nord-coréens ont été utilisés, mais ils ne sont pas très nombreux. »
Ici, Boudanov contredit ce qui a été la propagande ukrainienne pendant des mois, reprise par toute la presse occidentale.
On en vient à se demander s’il ne prépare pas son retournement de veste, comme son ancien ami Arestovytch, qui après avoir été l’un des principaux vecteurs de la pire propagande ukrainienne se proclame aujourd’hui russe et dit pis que pendre des dirigeants ukrainiens…