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Station-service

Une réflexion de Maria Zakharova, aujourd’hui, sur son fil Telegram.

À propos du mème "La Russie est une station-service".

Il a été lancé par un russophobe patenté, le sénateur John McCain. En 2014, il a déclaré à propos de notre pays : "La Russie est une station-service qui prétend être un pays".

Depuis McCain, qui n’a pas qualifié la Russie de station-service. L'ancien conseiller économique d'Obama, Jason Furman ("La Russie est fondamentalement une grande station-service"), les candidats à la présidence des États-Unis, Mitt Romney ("La Russie est maintenant une station-service qui prétend être un pays lors des défilés"), Ron Desantis ("La Russie est une station-service avec un jeu de bombes nucléaires") et bien d'autres.

Cette année déjà, l'auteur d'un autre mème sur un "jardin en fleurs", Josep Borrel, a qualifié la Russie de "station-service avec une bombe nucléaire".

Mais, comme vous le savez déjà, nous sommes très attentifs à la question.

Jetez un coup d'œil aux dernières statistiques du commerce extérieur des États-Unis.

Le principal produit d'exportation américain est le pétrole (86 milliards de dollars). Viennent ensuite les produits pétroliers (83 milliards de dollars). En quatrième position, on trouve le gaz (50 milliards de dollars). Si l'on calcule la part totale des hydrocarbures par rapport au montant total des cinq premiers postes des exportations nationales, elle représente près de 63%. L'aérospatiale et l'ingénierie arrivent en queue de peloton.

Les États-Unis s'emploient activement à pomper le pétrole pour le vendre ; chaque mois, les chiffres de production augmentent et battent des records. Sinon, l'économie américaine ne peut plus s'en sortir, même en tenant compte du "dollar en soufflé".

Alors qui est le pays de la pompe à essence ? Bon, d'accord. Les États-Unis ont une conception plus élaborée : une station-service avec une imprimante à billets intégrée.

Commentaires

  • Elle a raison dans tout ce qu'elle dit !
    Elle aurait dû ajouter que les États-Unis ne sont que des parasites car ils vivent déjà bien au-dessus de leurs moyens aux dépens du reste du monde :
    - ils ont plus de 30.000 milliards de dollars de dette et ça augmente chaque mois.
    - ils impriment leurs billets de banque en-veux-tu-en-voilà.
    - ces billets ne sont qu'une monnaie de singe car elle n'est pas basée sur l'or ni sur la création de richesse.
    - il découle de tout ce qui précède que si les États-Unis étaient astreints à respecter les lois et règlements économiques, comme tous les autres pays en remboursant leur dette, leur niveau de vie serait divisé par 2 au moins...

    Mais, depuis la seconde guerre mondiale, ce pays est devenu le banquier du monde pendant un temps mais depuis Nixon, qui a découplé le dollar de l'or, sa monnaie ne vaut plus rien objectivement mais, ô miracle !, elle est quand même restée la seule référence pour le commerce mondial qui ne peut plus s'en passer car c'est avec cette monnaie que se fait ce commerce, ce qui permet l'impression des billets verts sans restriction...

    Mais les choses sont en train de changer, doucement, depuis quelques années, et à terme, quand les autres pays auront adopté celle que les Brics vont mettre en place, c'est alors que les États-Unis perdront leur statut de 1ère Puissance et leurs larbins européens se retrouveront nus comme leur maître...

    Quant à la Russie, son économie ne fait que prospérer depuis les sanctions qu'on lui inflige et elle n'a pas de dette...

  • Les médias sont très discrets sur la production d'hydrocarbures aux États-Unis.
    Elle n'est pas secrète et l'accroissement de la production depuis 25 ans edt spectaculaire : un triplement grâce au gaz de schiste !
    Aujourd'hui les États-Unis sont au 1er rang mondial.

  • Et depuis quelque temps, silence radio absolu des écolos et autres Greenpeace sur les procédés d'extraction du gaz de schiste et leur impact l'environnement. Greenpeace n'est qu'une officine au service des terroristes yankees.

  • - Par rapport aux "gaz à effet de serre", on nous a raconté que le charbon était la pire des pires des sources d'énergie.
    Les Ecolos allemands sont au gouvernement et ce sont eux qui, hic et nunc, relancent cette production si "dangereuse" pour "l'avenir de la planète"...
    - Les éoliennes sont de véritables hachoirs à oiseaux (de niveau industriel), cependant, les Ecolos-grands-défenseurs-de-la-Nature, poussent au développement de cette source d'énergie dite alternative. C'est peut-être pour relancer la prolifération des insectes.
    - Quand cet objectif stratégique sera atteint nous pourrons bouffer (pardon, consommer) des larves à la place des steaks ; ainsi les pets des bovidés ne viendront plus s'additionner aux divers pets des autres herbivores (antilopes, gnous, éléphants, rhinocéros et hippopotames). N'est-ce pas cette addition qui contribue si fortement à détruire la planète ?
    Encore heureux que les Ecolos, les enfants des écoles et le pseudo-pape François se soucient de protéger cette Nature : eux, ils vont nous sauver l'avenir de la planète.

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