Evoquant « l’embarras profond du Canada », Justin Trudeau a présenté au Parlement ses « plus sincères excuses… pour la situation dans laquelle le président Zelensky et la délégation ukrainienne ont été placés ». Et d’ajouter que son gouvernement avait déjà contacté Kiev et le président Zelensky pour leur présenter des excuses…
Or à Kiev les vétérans de la division Waffen SS Galicie sont des héros de l’Ukraine…
Et c’est bien pourquoi le président du Parlement canadien avait demandé aux députés d’applaudir Yaroslav Hunka, « un vétéran ukraino-canadien de la Seconde guerre mondiale qui s’est battu pour l’indépendance de l’Ukraine contre les Russes », « un héros ukrainien et un héros canadien ». Pour faire plaisir à Zelensky et à sa bande de Bandéristes.
C’est évidemment aux Canadiens que ce sinistre clown de Trudeau aurait dû présenter ses excuses, et d’abord aux députés auxquels on a demandé d’applaudir un nazi.
Lesquels députés ne sont pas non plus de simples victimes. Ou plutôt ce sont des victimes du délire russophobe au point qu’il n’y en a pas eu un seul pour trouver bizarre d’avoir à ovationner un Ukrainien qui combattait « contre les Russes » donc fatalement avec les nazis.
Commentaires
Si la séparation des pouvoirs est aussi bien assurée chez eux que chez nous, c'est qu'alors leur parlement fédéral est un double rassemblement de carpettes qui attendent, les fesses à l'air, que le détenteur de l'exécutif veuille bien s'occuper de leurs distinguées turgescences.
Il y a un point où présenter des excuses ne fait qu'enfoncer la victime de l'injure six pieds sous terre, là où elle voudrait et mériterait d'être.
Je crois d'ailleurs que M...cron et Trudeau se disputent le grand prix Caligula des Nations Unies. La médaille Héliogabale ne serait pour eux qu'une médiocre consolation bien qu'ils la méritent davantage.
Pour Trudeau, cela ne me regarde pas, mais j'espère que le Bon Dieu m'accordera la grâce de voir l'autre finir comme l'un des deux empereurs susnommés, et son épouse en Jézabel, pour mélanger les références, à la Michel-Ange...